Misères Narwhaliennes …

Chronique NARWHAL (suite…)

 

Dans une précédente chronique, nous parlions de nouvelles aventures ou mésaventures.

Quelle clairvoyance !

D’abord, il convient de constater que certains « anciens » s’embourgeoisent au point de préférer les fromages du marché à une belle journée en mer.

Tout fout le camp !

Bref, aujourd’hui la Légion nous transporte (comme des rois) avec moult provisions à bord d’un camion rutilant.

Faut dire que nous avons une « armoire à glace » comme compagnon de voyage, Victor, nageur de combat, qui avec sa combinaison « léopard » fait forte impression !

Notre légionnaire « maison » en enfile même la sienne à l’envers !

Nous constatons à nouveau la difficulté à remonter sur le bateau : l’installation prochaine d’une échelle s’avère indispensable pour éviter d’avoir à se tripoter les un(e)s les autres … (quoique… !)

Belle matinée sur la pyramide…

Arrivée sur Riou pour notre collation habituelle.

Comme indiqué précédemment, le déchargement par l’avant du Narwhal s’avère toujours un peu risqué.

Cette fois-ci, c’est une tongue fatiguée qui occasionne une glissade.

Ouille les rochers !

Désinfection, bandage, on s’active pour… vite trouver un nom à cet emplacement désormais célèbre…

« Le Tombant du Président » !

Le Blond déploie des trésors d’attention et ses compétences RIFAP (avec un P comme parasol) pour mettre à l’abri notre grand blessé.

Moralité (bis) : les dé(em)barquements sont à exécuter avec la plus grande prudence.

Afin de compléter le tableau, le mouillage doit aussi faire l’objet d’une attention particulière puisque le Blond y laisse un peu de peau avec quelques gouttes d’hémoglobine.

Le retour fut plus calme.

Seul le rédacteur de ces lignes, encore narcosé  certainement, mais on ne sait d‘où, confond la fuite d’air d’un bloc dans le fourgon avec un hypothétique autoradio allumé, en manque de signal…

Cherchez pas, Docteur !…

 

JC